Les sous-dossiers principaux sont les lignes (fictives) qui
respectent la déclivité de la terre
et les lignes (fictives) qui respectent les règles d’alignement solsticiales, équinoxiales et polaires.
La déclivité semble être le décalage nécessaire entre l’axe de rotation terrestre
et son axe de rotation autour du soleil. En ce sens, il semble plus associé à
l’envol de l’âme vers une finalité solaire donc à des rites funéraires. J’ai
calculé pour les solstices (à un degré près), deux angles de 56° et 304°
contrairement à ce qui est généralement admis à cette latitude de 54° et 306°.
Il semble que ce choix corresponde mieux à la réalité d’une époque de mise en
place de ce système et à une réalité régionale (car elles varient selon la latitude). Il faut comprendre que l’axe de rotation terrestre n’a pas
toujours été identique. Nous sommes ici dans un axe postdiluvien. Mais le
phénomène d’alignement (voir l’exemple-mère du complexe de Wéris) est un
phénomène qui s’entend sur une longue période. Il est possible que l’on observe
sur de grandes distances de légers décalages et admettre la notion d’erreur
humaine due par exemple à des observations sur différentes altitudes. Pour les lignes de déclivité, j’admets une erreur de 3° entre 30° et
33° et entre 330° et 333°.
http://www2.cslaval.qc.ca/cdp/UserFiles/File/previews/mouvements_terre/
Il est fort possible que ces mailles se superposent aux mailles geobiologiques existantes. Le réseau Hartmann par exemple est orienté tous les 2m dans le sens Nord-Sud et tous les 2,5m dans le sens Est-Ouest. A 45°, nous avons le réseau Curry dont les bandes sont espacées de 4m. Nous avons déjà là la possibilité de tracer des petites étoiles à 8 branches. Mais les branches se condensent régulièrement toutes les x nombre de branche pour former des traces plus fortement énergétiques. En additionnant les particularités du terrain, il est encore possible d'augmenter l'ancrage de lieux particuliers. En les alimentant et les reliant entre eux, nous avons enfin une maille majeure qui s'autoalimente et autorégule. Les lieux particuliers sont, eux, "adaptés" aux besoins selon des techniques dites "sensibles" et "architecturales" ou "mécaniques". La polarité Nord-Sud et les équinoxes parcourent ces lignes. Le regard du geobiologue s'arrête là plus ou moins et tente d'expliquer et nommer en fonction de ces règles. Mais les solstices constituent également des moments de "recharge" exceptionnelle par l'apport solaire. Sans soleil et apport constant, la machinerie énergétique et donc naturelle fonctionnerait au ralenti. Les rapports angulaires solsticiaux, eux, sont dits "anarchiques" par rapport aux autres angulations car ils dépendent de repères visuels d'apparition et de disparition solaire. Nous pouvons prendre ces repères dans la journée (Nord, Sud, Est, Ouest, Solstice 4 repères) et ils nous donnent une vision elliptique par rapport à la vision classique hartmann-Curry qui nous donne une vision circulaire. Cette ellipse, c'est aussi le circuit annuel de la terre autour du Soleil (comme par hasard). Ce qui détermine cette différence, c'est bien l'obliquité (l'axe de rotation sur l'équateur solaire) de la terre (23°26). Pourtant, nous avons une autre maille d'angulation approximative de 30° dans les rapports entre lieux (déclivité) et dans la structure des mégalithes qui ne répond à aucune explication connue. De quoi nait-elle ? Nous l'ignorons mais nous la constatons. Peut-être sont-ce les obliquités de la terre et de la lune ajoutées, 23,44° + 6,68° = 30,08° sur l'elliptique, un espèce de "correction" luno-solaire terrestre à dimension d'élévation divine. OU alors : et si l'obliquité fut un jour de 30° ?
Donc, au départ de la structure ancienne de ces rapports : la connaissance ; dans la continuité, reste : la technicité, la perpétuation aveugle et tenace. Au final : le requestionnement.
http://www2.cslaval.qc.ca/cdp/UserFiles/File/previews/mouvements_terre/
Si l'on zoome sa recherche localement, une maille plus petite se dégage avec des espacements de correspondances solsticiales parallèles et distantes de 200m environ.
Donc, au départ de la structure ancienne de ces rapports : la connaissance ; dans la continuité, reste : la technicité, la perpétuation aveugle et tenace. Au final : le requestionnement.
Le sous-dossier « lignes diverses » souligne des
rares exceptions d’alignements évidents localisés.
Le sous-dossier « raccord toponymique » s’amuse à
relier des lieux de toponymie identique et inspirée de déités du panthéon. Cet
exercice fait rencontrer effectivement maints points clés. Il ne faut en
déduire que des correspondances et je n’ai qu’un constat à présenter.
Le sous-dossier « Ligne », lui récolte des lieux
qui porte le nom de ligne même et qui évoquent la possibilité d’alignement ou à des voies de communication. Il
est amusant à ce titre, de décocher tous les dossiers et de cocher un seul pour
se donner une opinion visuelle aérienne.
Quelques endroits de croisement :
Pour trouver des départs de relation entre les lieux, prenez
ces exemples de croisements multiples de lignes de rapport :
Dans la barre de recherche, tapez :
Ab de Villers Rne
Achoûfe
Baulers
Dernier Patard
Eizer
Estinnes-au-Val
Evelette
Fooz
Froidthier
Han-sur-Lesse
Herbeumont
Malmédy
Moxhe
Nassogne
Odet
Ondenval
Ramelot
Ressaix
Roly
Sauvagemont
Solwaster
Soiron
Tombes, Marche-en-Famenne
Wéris
Vous observerez des exemples de reliance d’angulation pour
l’observation du pointage solaire vers les endroits correspondants au cycle de
l’année. Si ca ne marche pas, ajoutez ", Belgique"
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